La France n'a et n'aura jamais de plus mortels ennemis que les Français exilés.

Montesquieu

Montesquieu

Profession: Philosophe
Nationalité: Française


La France n'a et n'aura jamais de plus mortels ennemis que les Français exilés. Montesquieu

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Les lois rencontrent toujours les passions et les préjugés du législateur. Quelquefois elles passent au travers, et s'y teignent ; quelquefois elles y restent, et s'y incorporent.

La gêne du commandement fatiguera comme celle de l'obéissance.

Dans toute magistrature, il faut compenser la grandeur de la puissance par la brièveté de sa durée.

La politique est une lime sourde et qui parvient lentement à sa fin.

Lorsque la mort a égalisé les fortunes, une pompe funèbre ne devrait pas les différencier.

Ceux qui aiment à s'instruire ne sont jamais oisifs.

L'avantage de l'amour sur la débauche, c'est la multitude des plaisirs.

Souvent les gens perdent leur fortune par ambition et se ruinent par avarice.

Comment peut-on être Persan?

Un courtisan est semblable à ces plantes faites pour ramper qui s'attachent à tout ce qu'elles trouvent.

L'entêtement pour l'astrologie est une orgueilleuse extravagance. Il n'y a pas jusqu'au plus misérable artisan qui ne croie que les corps immenses qui roulent sur sa tête ne sont faits que pour annoncer à l'Univers l'heure où il sortira de sa boutique.

Il faut dans les lois une certaine candeur. Faites pour punir la méchanceté des hommes, elles doivent avoir elles-mêmes la plus grande innocence.

Le gouvernement est comme toutes les choses du monde ; pour le conserver il faut l'aimer.

Dans une nation qui est dans la servitude, on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre, on travaille plus pour acquérir qu'à conserver.