Les Meilleurs Proverbes Chinois

Proverbes Chinois

C'est parti!

Tout ce qui apaise la faim paraît bon.

Tout le monde aime la flatterie, chacun se méfie de la franchise.

Trop de paroles tuent l'action.

Un ami c'est une route, un ennemi c'est un mur.

Un bonheur aplanit cent malheurs.

Un feu trop violent ne permet pas une bonne cuisine.

Un fils qui fait verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer.

Un général chevronné en vaut deux.

A force d'être malade on finit par devenir un bon médecin.

Aimez votre voisin mais ne supprimez pas votre clôture.

Alors que tu chasses un tigre par la porte de devant, un loup peut entrer par celle de derrière.

Avant de faire la révolution, réforme ton coeur.

Avec du temps et de la patience, les feuilles de mûrier se transforment en robe de soie.

Avec un petit appât on capture de gros poissons.

Ce ne sont pas les mauvaises herbes qui étouffent le bon grain, c'est la négligence du cultivateur.

Ce qui est difficile quand on chevauche un tigre, c'est d'en descendre.

Celui qui aime à demander conseil grandira.

Celui qui assiste en spectateur voit clair, celui qui prend parti se laisse égarer.

Celui qui me flatte est mon ennemi, celui qui me réprouve m'enseigne.

Celui qui ne vole pas haut ne se fait pas de mal en tombant.

Celui qui sait vaincre n'entreprend pas la guerre.

Cent "non" font moins de mal qu'un "oui" jamais tenu.

C'est par le bien-faire que se crée le bien-être.

Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune.

Choisir ses voisins est plus important que choisir sa maison.

Connaître autrui n'est que science ; se connaître soi-même, c'est intelligence.

Conseiller est aisé, aider est difficile.

Creusez un puits avant d'avoir soif.

Dans la maison du marin les enfants savent nager.

Dans la sécheresse on découvre les bonnes sources ; dans la détresse, les bons amis.

Deux plaideurs font un seul riche : le troisième.

Deux yeux échangent leurs regards et les êtres existent.

Dix veilleuses ne valent pas une lampe.

Élever la voix ne donne pas raison.

En buvant l'eau du puits, n'oubliez pas ceux qui l'ont creusé.

En période de paix, n'oublie pas le péril.

Est sage celui qui connaît les autres.

Étudier sans réfléchir ne sert à rien.

Hier, aujourd'hui, demain, sont les trois jours de l'homme.

Il est facile d'apprendre mille disciplines, mais il est difficile d'en connaître une à fond.

Il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie.

Il n'est pas de joie qui égale celle de se créer de nouvelles amitiés.

Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile.

Il y a pire que de ne pas réussir, il y a ne pas essayer !

Interroger cent personnes, c'est connaître cent choses.

La blessure cicatrisée, on oublie la douleur.

La fortune est pour la vie ce que la rosée est pour l'herbe.

La grenouille au fond d'un puits ne sait rien de la haute mer.

La langue des femmes est leur épée, et elles ne la laissent jamais rouiller.

La loi est sage, mais les hommes ne le sont pas.

La maison tournée vers le soleil est chauffée la première.

La montagne et l'eau finiront par se rencontrer.

La mort est un repos pour le Sage, et pour les autres une soumission.

La nuit paraît courte dans le plaisir, les veilles semblent longues dans la solitude.

La première fois c'est une erreur, la seconde c'est qu'on le fait exprès.

La rose n'a d'épines que pour celui qui veut la cueillir.

La valeur d'un général réside dans sa stratégie et non dans son courage.

La vérité est le point d'équilibre de deux contradictions.

La vie la plus heureuse finit avant la mort.

L'arbre élevé attire le vent.

L'argent ne rachète pas la jeunesse.

Le cerisier qui fleurit en hiver est un imbécile.

Le champ est le maître, l'homme est son invité.

Le fond du coeur est plus loin que le bout du monde.

Le grand nombre des bateaux ne gêne pas la rivière.

Le meilleur est de se contenir dans ses limites naturelles.

Le père sème, le fils récolte.

Le peuple est difficile à gouverner quand il est trop savant.

Le poisson voit l'appât et non l'hameçon.

Le premier mariage d'une femme, c'est l'affaire des parents ; son deuxième mariage, c'est sa propre affaire.

Le sage a beau voyager, il ne change pas de demeure.

Le savoir n'est pas difficile, seule sa mise en pratique l'est.

Le tigre aussi a besoin de sommeil.

L'eau ne reste pas sur la montagne, ni la vengeance sur un grand coeur.

L'échec est la mère du succès.

Les beaux chemins ne mènent pas loin.

Les bonnes marchandises se passent de publicité.

Les coeurs les plus proches ne sont pas ceux qui se touchent.

Les dieux et les fées se trompent aussi.

Les excès tuent plus sûrement que les épées.

Les vagues ne se lèvent pas s'il n'y a pas de vent.

Les vieux péchés ont de longues ombres.

L'or véritable ne craint pas le feu.

Maison de paille où l'on rit vaut mieux qu'un palais où l'on pleure.

On ne doit pas mettre deux coqs dans la même cage.

On peut guérir d'un coup d'épée, mais guère d'un coup de langue.

Parler ne fait cuire le riz.

Plus les sentiments sont distants, plus les politesses sont nombreuses.

Pour connaître le chemin, interroge celui qui en vient.

Près d'un grand arbre on échappe au givre.

Quand tout va mal, regarde-toi dans le miroir.

Qui ne travaille pas s'appauvrit.

Sans profit personne ne se lèverait tôt.

Une jeune branche prend les formes qu'on lui donne.

Une lame non aiguisée finit par se rouiller.

Le silence est le plus grand des mépris.

Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère.

Les jolies filles ne sont pas toujours heureuses et les garçons intelligents sont rarement beaux.

Si tu veux être heureux, sois-le.

Quand le sage montre la lune, l'abruti regarde le doigt.